traction du DYMOBY
Re: traction du DYMOBY
oui effectivement, mais comment le contrôler ? j'ai nettoyé les mâchoires et quelquefois à la décélération j'entends des claquements. les ressorts sont bien en place et souples, après comment le révise t on, peut être il est en bon état....
AV 75 Décembre 1958 - SP 94 TTe Décembre 1970
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Re: traction du DYMOBY
Ne pas confondre ! Embrayage simple, c'est embrayage simple effet (reste décollé en-dessous de 6 km/h). A part ça, il y a le Dimoby, embrayage double effet, qui embraye également quand le moteur atteint un régime suffisant. La présence ou l'absence d'un variateur (Mobymatic) n’a rien à voir avec le type de l'embrayage, TOUTES les combinaisons possibles ont existé entre la présence ou l'absence du variateur et le type de l'embrayage. L'AV 75 se caractérise par rapport à l'AV78 UNIQUEMENT par l'absence de variateur. Par ailleurs, les deux modèles ont commencé leur vie avec l'embrayage simple puis, quand il a été créé par le Bureau d'Etudes, ont reçu le Dimoby. Par contre, le Dimoby a rapidement supplanté l'embrayage simple, dès le tout début des années 60 au point d'équiper TOUS les modèles, même les plus bas de gamme, et même les Cady ont toujours disposé du Dimoby, dès leur début.fabien88 a écrit :c'est un embrayage simple(pas de variateur)
2 temps pour toujours...
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Proverbe : Quand il y a un problème sur une Motobécane, dans onze cas sur dix le coupable s'appelle Gurtner.
"El Tétroi"
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Re: traction du DYMOBY
Peux tu m'expliquer le principe STP. je n'ai pas tout compris dans le fonctionnement des deux embrayages.
Merci
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AV 75 Décembre 1958 - SP 94 TTe Décembre 1970
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Re: traction du DYMOBY
Oui, enfin... c'est un Dimoby, pour ne pas confondre avec "embrayage simple" comme je l'ai surnommé plus haut.
Il a l'air en bon état, le Dimoby a ses patins, l'embrayage principal aussi....
Je ne pense pas que le problème vienne de ce coté. Il faut chercher ailleurs, peut être un segment cassé, une soupape de décompresseur non étanche, ou un joint spi fuyard...
Il a l'air en bon état, le Dimoby a ses patins, l'embrayage principal aussi....
Je ne pense pas que le problème vienne de ce coté. Il faut chercher ailleurs, peut être un segment cassé, une soupape de décompresseur non étanche, ou un joint spi fuyard...
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Re: traction du DYMOBY
Ca me semble pourtant clair et ça a été plusieurs fois expliqué sur ce forum et d'autres, la fonction "Recherche" a quand même une utilité !PHIL77 a écrit :Peux tu m'expliquer le principe STP. je n'ai pas tout compris dans le fonctionnement des deux embrayages.
Merci
Dans l'ordre d'apparition :
Le premier modèle de Mob, l'AV3 possède une transmission sans embrayage ni variateur. Pour le démarrer, tu débéquille, monte dessus et tu pédale, la seule aide est le décompresseur. Si tu dois t’arrêter, tu cale. Et pour redémarrer, voir précédemment. C'est d'un pratique en ville et/ou avec un peu de circulation.
Donc, pour y pallier, Motobécane crée dès 1951 l'embrayage automatique simple. L'embrayage accouple le moteur et la poulie lorsque la vitesse du véhicule atteint les 6 km/h, et désaccouple lorsqu'on redescend en-dessous. C'est un peu plus facile à démarrer et le moteur ne doit plus caler lors d'un arrêt. Mais pour mettre en mouvement le véhicule, il faut toujours pédaler jusqu'à atteindre 6 km/h. Ce n'est pas le génie, surtout en cote, mais c'est déjà un gros progrès.
Du coup, le BE de Tobec travaille encore et, après avoir créé le variateur, sort enfin l'embrayage double effet, le Dimoby. Aux effets bénéfiques du premier modèle qui sont intégralement conservés, on ajoute la mise en mouvement du véhicule par l’accélération du moteur, ça enclenche au-dessus du ralenti. Plus besoin de pédaler pour redémarrer après un feu rouge, ou avoir laissé passer un autre usager de la route.
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Re: traction du DYMOBY
Et pour expliquer le fonctionnement du Dimoby, il faut comprendre qu'il y a deux embrayages. L'embrayage principal, le premier du nom dont parle Pilote est lié au train roulant (roue-chaine-poulie-courroie cloche de l'embrayage). Il agit par la force centrifuge, quand la machine roule, il tourne et la force centrifuge embraye. Quand la machine passe en dessous des 6 km/h, les ressorts rappellent les patins, le moteur est débrayé. Mais si une fois arrêté, on accélère, les patins étant liés à la roue (et non au moteur) ne bougent pas, rien ne se passe. C'est là qu'intervient le Dimoby. Lui, ses patins sont à la périphérie du tambour (la cloche externe), montée directement sur le vilebrequin. Si on accélère le moteur, la force centrifuge les plaque contre la cloche et entraine celle ci (et avec: la courroie, la poulie, la chaine, la roue) jusqu'aux 6 km/h auxquels l'embrayage principal prendra le relais.
Re: traction du DYMOBY
Ok c'est plus clair.
bonne soirée.
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